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Nouveau livre sur les plantes aquatiques
Modérateur : Equipe Aquajardin
- yves
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- Messages : 18123
- Enregistré le : mar. 17 août 2004, 19:12
- Localisation : Hainaut - Belgique
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Nouveau livre sur les plantes aquatiques
Bonjour à toutes et tous,
Je tiens à vous présenter ce magnifique livre qui vient de sortir en juin 2016.
Il s'agit du livre "Plantes aquatiques & de terrains humides" d'Eric Lenoir aux Editions Ulmer.
Le livre est très bien fait, riche en textes et photos. Un ouvrage que tous les amoureux de plans d'eau doivent avoir !
Présentation de l'éditeur
Le guide le plus actuel et le plus complet sur les plantes aquatiques et de berges, par l'un des meilleurs spécialistes du sujet. Les plantes présentées dans cet ouvrage sont, hors mention particulière, rustiques en France métropolitaine, et réparties en 3 grands chapitres : Plantes immergées, à feuilles flottantes. Plantes qui peuvent pousser alors que leur collet et une part plus ou moins importante de leurs parties végétatives se trouvent sous la surface. Plantes de berges et de terre humide. Plantes dont les racines peuvent être immergées mais dont le collet devra, au moins pour une partie de l'année (variable selon les espèces), se trouver au-dessus de la surface de l'eau. Plantes flottantes. Plantes n'étant pas ancrées, au moins pour une partie de leur cycle végétatif, au fond de l'eau. Elles flottent alors à la surface et peuvent dériver au gré du vent et des courants. Outre les caractéristiques de chaque plante, habitat et mode de culture, sont également présentées leurs éventuelles utilisations alimentaires, médicinales ou techniques (lagunage, filtration...).
Je tiens à vous présenter ce magnifique livre qui vient de sortir en juin 2016.
Il s'agit du livre "Plantes aquatiques & de terrains humides" d'Eric Lenoir aux Editions Ulmer.
Le livre est très bien fait, riche en textes et photos. Un ouvrage que tous les amoureux de plans d'eau doivent avoir !
Présentation de l'éditeur
Le guide le plus actuel et le plus complet sur les plantes aquatiques et de berges, par l'un des meilleurs spécialistes du sujet. Les plantes présentées dans cet ouvrage sont, hors mention particulière, rustiques en France métropolitaine, et réparties en 3 grands chapitres : Plantes immergées, à feuilles flottantes. Plantes qui peuvent pousser alors que leur collet et une part plus ou moins importante de leurs parties végétatives se trouvent sous la surface. Plantes de berges et de terre humide. Plantes dont les racines peuvent être immergées mais dont le collet devra, au moins pour une partie de l'année (variable selon les espèces), se trouver au-dessus de la surface de l'eau. Plantes flottantes. Plantes n'étant pas ancrées, au moins pour une partie de leur cycle végétatif, au fond de l'eau. Elles flottent alors à la surface et peuvent dériver au gré du vent et des courants. Outre les caractéristiques de chaque plante, habitat et mode de culture, sont également présentées leurs éventuelles utilisations alimentaires, médicinales ou techniques (lagunage, filtration...).
Bassin de 9m3 (21m2), fortement planté avec cascade, poissons rouges et ides mélanotes. Pas de filtration.
Bac de 450l sans poissons, quelques plantes et des escargots d'eau, très bons nettoyeurs.
Yves Wouters
Météo européenne : https://www.meteoeu.net
Jardin des Haies : https://www.jardindeshaies.be
Passion photo : https://www.fandephoto.net
Bac de 450l sans poissons, quelques plantes et des escargots d'eau, très bons nettoyeurs.
Yves Wouters
Météo européenne : https://www.meteoeu.net
Jardin des Haies : https://www.jardindeshaies.be
Passion photo : https://www.fandephoto.net
- MarcVD
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- Enregistré le : dim. 09 juin 2013, 22:00
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- yves
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- Enregistré le : mar. 17 août 2004, 19:12
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Éric, vous l’avez peut-être déjà rencontré sur une fête des plantes, lu sur Facebook, entendu sur Hortus Focus. Son nouveau livre “Plantes aquatiques & de terrains humides” est sorti récemment. Une référence pour qui possède étang, une mare, un bassin et même une bassine en zinc sur son balcon. Interview les pieds dans l’eau (c’est pas vrai mais tant pis !).
Pourquoi ce nouveau livre sur les plantes aquatiques et de terrains humides, hein pourquoi ?
En premier lieu, parce que je n’en ai jamais trouvé un qui me convienne. Quand j’ai ouvert ma pépinière, en reprenant la gamme d’un pépiniériste de plantes aquatiques qui partait en retraite, j’ai eu beaucoup de mal à trouver des informations fiables (voire même des informations tout court) pour de nombreux végétaux de la collection. Les atlas de plantes généralistes n’ont fréquemment qu’une toute petite proportion de plantes d’eau ; de surcroît ce sont souvent des traductions de livres écrits à l’étranger… pour l’étranger. De fait, les données indiquées n’étaient pas toujours réalistes pour leur culture sous le climat de la France métropolitaine. Quant à internet, il regorge de perles autant que d’esbroufes.
À quel public ce livre est-il destiné ?
À tous ! Je me suis efforcé de faire en sorte que le professionnel ou le passionné puisse y trouver les informations dont il a besoin (un tableau récapitulatif recense les quelques centaines de plantes mentionnées au fil des pages et les données utiles qui leur sont relatives), mais j’ai tenu à ce que le néophyte et l’amateur ne se sentent pas du tout largués à la lecture. Ce n’est pas un ouvrage de botanique ; il comporte énormément de photos, un glossaire, et le texte est accessible. J’ai glissé un volet ethnobotanique dans la description de chaque plante, pour « alléger » le contenu.
Ethnobotanique, kezako ?
Ce qui est relatif au lien entre Hommes et Plantes. Cela comporte les usages traditionnels, la phytothérapie, les usages alimentaires, etc.
Un exemple ?
La pesse d’eau (Hippuris vulgaris), excellente plante oxygénante. Dans les bassins, on l’utilise beaucoup à cet usage, mais je n’ai pas pu m’empêcher de mentionner qu’elle était comestible.
Bon, certes, elle n’est pas terrible au goût, mais les Eskimos l’accommodent avec une délicieuse (enfin, eux la trouvent délicieuse) sauce au sang de phoque.
Je vois, je vois… Ton inventaire est-il exhaustif ?
Oh là là, non !! Même s’il mentionne de nombreuses plantes sauvages endémiques en plus des variétés exotiques (rustiques) et horticoles, on est très loin du compte !
Imaginez : en France, on détermine administrativement une zone humide par la présence d’au moins une des plus de 700 espèces végétales recensées pour ce type de milieu. S’il m’avait fallu avoir ce niveau d’exhaustivité, en intégrant toutes les plantes rustiques issues des différents continents, les centaines de cultivars d’Iris du Japon (entre autres), les 300 et quelques pages du livre n’auraient pas suffi.
Et, pour le coup, il commencerait probablement à devenir un peu ennuyeux !
Tu présentes également des plantes qui ne sont pas nécessairement considérées comme des plantes d’eau.
C’est normal, docteur ?
Bon nombre de plantes d’eau (et de terrain humide) ne sont surtout pas considérées en tant que telles dans les ouvrages ! Le classique hémérocalle adore avoir les pieds qui trempent – je l’emploie régulièrement dans les lagunages de filtration pour les bassins – de même que des plantes comme l’éphémère de Virginie (Tradescantia andersoniana et consort), la salicaire (Lythrum salicaria) et autres rubans de bergère (Phalaris arundinacea ‘Variegata’).
Ces plantes sont douées d’une grande adaptabilité, mais on oublie parfois que leur milieu de prédilection est vraiment très humide.
Inversement, j’ai souvent trouvé ailleurs des informations contradictoires concernant des plantes supposées apprécier l’immersion ou au contraire préférer ne jamais être submergées. C’est au fil de mon expérience de producteur, paysagiste, et des voyages que j’ai pu me forger ma propre opinion, preuves à l’appui. Il s’avère que les plantes ne se comportent pas pareil partout, et que les conditions tant de production que de plantation influent autant que le climat sur leur capacité à s’adapter à un emplacement.
Y a-t-il un modèle de plantations type, que l’on peut envisager pour n’importe quel bassin ?
Certainement pas, chaque cas est un cas particulier. Il y a beaucoup de données à prendre en compte : exposition, profondeur, présence ou non de poissons herbivores, courant, jeu d’eau, possibilités de planter dans de grands bacs ou pas, souhaits esthétiques… Autant de points qui vont diriger vers tel ou tel choix (d’où la nécessité du tableau de synthèse pour dégrossir l’offre).
De même, on ne va pas choisir les mêmes végétaux selon qu’on garnit un bassin artificiel, un demi-tonneau sur une terrasse ou une mare naturelle. Un point intéressant est que les bassins des particuliers ont beaucoup évolué en termes de design. Grâce à la géomembrane (la bâche à bassins en caoutchouc), chacun peut facilement créer un aménagement à son goût, et l’on trouve de plus en plus de plans d’eau d’inspiration naturaliste, très profitables à la faune.
Combien de temps t’a-t-il fallu pour rassembler toutes ces informations ?
Plusieurs années !
J’ai commencé la rédaction des premières lignes en 2006, à la création de la pépinière. J’engrangeais alors les informations pour moi, puis pour mon site de vente en ligne. Au fur et à mesure le travail s’est affiné, et la banque de données photographiques a considérablement grossi.
Après la publication d’un premier bouquin (ndlr : “Créer simplement un bassin de jardin, éd. Ulmer), j’ai pu convaincre mon éditeur de me suivre sur ce nouveau projet, qu’il m’a fallu plus d’un an pour terminer de mettre en forme.
Mais quel bonheur de le tenir enfin en mains !
D’autres projets dans l’immédiat ?
En dehors du jardinage, des balades au bord de l’eau, de la contemplation de la nature et du partage de tout ça ? Rien de vraiment essentiel…
Pourquoi ce nouveau livre sur les plantes aquatiques et de terrains humides, hein pourquoi ?
En premier lieu, parce que je n’en ai jamais trouvé un qui me convienne. Quand j’ai ouvert ma pépinière, en reprenant la gamme d’un pépiniériste de plantes aquatiques qui partait en retraite, j’ai eu beaucoup de mal à trouver des informations fiables (voire même des informations tout court) pour de nombreux végétaux de la collection. Les atlas de plantes généralistes n’ont fréquemment qu’une toute petite proportion de plantes d’eau ; de surcroît ce sont souvent des traductions de livres écrits à l’étranger… pour l’étranger. De fait, les données indiquées n’étaient pas toujours réalistes pour leur culture sous le climat de la France métropolitaine. Quant à internet, il regorge de perles autant que d’esbroufes.
À quel public ce livre est-il destiné ?
À tous ! Je me suis efforcé de faire en sorte que le professionnel ou le passionné puisse y trouver les informations dont il a besoin (un tableau récapitulatif recense les quelques centaines de plantes mentionnées au fil des pages et les données utiles qui leur sont relatives), mais j’ai tenu à ce que le néophyte et l’amateur ne se sentent pas du tout largués à la lecture. Ce n’est pas un ouvrage de botanique ; il comporte énormément de photos, un glossaire, et le texte est accessible. J’ai glissé un volet ethnobotanique dans la description de chaque plante, pour « alléger » le contenu.
Ethnobotanique, kezako ?
Ce qui est relatif au lien entre Hommes et Plantes. Cela comporte les usages traditionnels, la phytothérapie, les usages alimentaires, etc.
Un exemple ?
La pesse d’eau (Hippuris vulgaris), excellente plante oxygénante. Dans les bassins, on l’utilise beaucoup à cet usage, mais je n’ai pas pu m’empêcher de mentionner qu’elle était comestible.
Bon, certes, elle n’est pas terrible au goût, mais les Eskimos l’accommodent avec une délicieuse (enfin, eux la trouvent délicieuse) sauce au sang de phoque.
Je vois, je vois… Ton inventaire est-il exhaustif ?
Oh là là, non !! Même s’il mentionne de nombreuses plantes sauvages endémiques en plus des variétés exotiques (rustiques) et horticoles, on est très loin du compte !
Imaginez : en France, on détermine administrativement une zone humide par la présence d’au moins une des plus de 700 espèces végétales recensées pour ce type de milieu. S’il m’avait fallu avoir ce niveau d’exhaustivité, en intégrant toutes les plantes rustiques issues des différents continents, les centaines de cultivars d’Iris du Japon (entre autres), les 300 et quelques pages du livre n’auraient pas suffi.
Et, pour le coup, il commencerait probablement à devenir un peu ennuyeux !
Tu présentes également des plantes qui ne sont pas nécessairement considérées comme des plantes d’eau.
C’est normal, docteur ?
Bon nombre de plantes d’eau (et de terrain humide) ne sont surtout pas considérées en tant que telles dans les ouvrages ! Le classique hémérocalle adore avoir les pieds qui trempent – je l’emploie régulièrement dans les lagunages de filtration pour les bassins – de même que des plantes comme l’éphémère de Virginie (Tradescantia andersoniana et consort), la salicaire (Lythrum salicaria) et autres rubans de bergère (Phalaris arundinacea ‘Variegata’).
Ces plantes sont douées d’une grande adaptabilité, mais on oublie parfois que leur milieu de prédilection est vraiment très humide.
Inversement, j’ai souvent trouvé ailleurs des informations contradictoires concernant des plantes supposées apprécier l’immersion ou au contraire préférer ne jamais être submergées. C’est au fil de mon expérience de producteur, paysagiste, et des voyages que j’ai pu me forger ma propre opinion, preuves à l’appui. Il s’avère que les plantes ne se comportent pas pareil partout, et que les conditions tant de production que de plantation influent autant que le climat sur leur capacité à s’adapter à un emplacement.
Y a-t-il un modèle de plantations type, que l’on peut envisager pour n’importe quel bassin ?
Certainement pas, chaque cas est un cas particulier. Il y a beaucoup de données à prendre en compte : exposition, profondeur, présence ou non de poissons herbivores, courant, jeu d’eau, possibilités de planter dans de grands bacs ou pas, souhaits esthétiques… Autant de points qui vont diriger vers tel ou tel choix (d’où la nécessité du tableau de synthèse pour dégrossir l’offre).
De même, on ne va pas choisir les mêmes végétaux selon qu’on garnit un bassin artificiel, un demi-tonneau sur une terrasse ou une mare naturelle. Un point intéressant est que les bassins des particuliers ont beaucoup évolué en termes de design. Grâce à la géomembrane (la bâche à bassins en caoutchouc), chacun peut facilement créer un aménagement à son goût, et l’on trouve de plus en plus de plans d’eau d’inspiration naturaliste, très profitables à la faune.
Combien de temps t’a-t-il fallu pour rassembler toutes ces informations ?
Plusieurs années !
J’ai commencé la rédaction des premières lignes en 2006, à la création de la pépinière. J’engrangeais alors les informations pour moi, puis pour mon site de vente en ligne. Au fur et à mesure le travail s’est affiné, et la banque de données photographiques a considérablement grossi.
Après la publication d’un premier bouquin (ndlr : “Créer simplement un bassin de jardin, éd. Ulmer), j’ai pu convaincre mon éditeur de me suivre sur ce nouveau projet, qu’il m’a fallu plus d’un an pour terminer de mettre en forme.
Mais quel bonheur de le tenir enfin en mains !
D’autres projets dans l’immédiat ?
En dehors du jardinage, des balades au bord de l’eau, de la contemplation de la nature et du partage de tout ça ? Rien de vraiment essentiel…
- kiko
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- Harry
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- Localisation : Seneffe, Belgique
A mon avis, ça n'existe pas en numérique. Ne serait-ce qu'à cause des
photos, qui ne donneront rien sur l'écran monochrome d'une liseuse.
Perso je trouve que les livres électroniques, c'est très bien pour les
romans (en vacances, la légèreté du kB comparé au poids du papier
dans les bagages est imbattable) mais pour les ouvrages éducatifs
c'est inutilisable...
photos, qui ne donneront rien sur l'écran monochrome d'une liseuse.
Perso je trouve que les livres électroniques, c'est très bien pour les
romans (en vacances, la légèreté du kB comparé au poids du papier
dans les bagages est imbattable) mais pour les ouvrages éducatifs
c'est inutilisable...
Marc.
Si l'affaire du Paradis Terrestre s'était passée en
Chine, la face du monde en aurait été changée :
Adam et Eve auraient surement bouffé le serpent et laissé la pomme...
Si l'affaire du Paradis Terrestre s'était passée en
Chine, la face du monde en aurait été changée :
Adam et Eve auraient surement bouffé le serpent et laissé la pomme...
- yves
- Admin
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- Enregistré le : mar. 17 août 2004, 19:12
- Localisation : Hainaut - Belgique
- Contact :
Bonjour,
Je suis de l'avis de Marc.
En plus, je trouve que rien ne vaut un bon livre en main !
C'est tellement plus agréable à consulter.
Je suis de l'avis de Marc.
En plus, je trouve que rien ne vaut un bon livre en main !
C'est tellement plus agréable à consulter.
Bassin de 9m3 (21m2), fortement planté avec cascade, poissons rouges et ides mélanotes. Pas de filtration.
Bac de 450l sans poissons, quelques plantes et des escargots d'eau, très bons nettoyeurs.
Yves Wouters
Météo européenne : https://www.meteoeu.net
Jardin des Haies : https://www.jardindeshaies.be
Passion photo : https://www.fandephoto.net
Bac de 450l sans poissons, quelques plantes et des escargots d'eau, très bons nettoyeurs.
Yves Wouters
Météo européenne : https://www.meteoeu.net
Jardin des Haies : https://www.jardindeshaies.be
Passion photo : https://www.fandephoto.net
- khali
- Super passionné(e)
- Messages : 730
- Enregistré le : mar. 14 juil. 2015, 14:04
- Localisation : Gembloux
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Idem....pas de numérique pour moi pour les livres...j'aime trop le contact du papier
je l'ai commandé chez mon libraire préféré...je devrais l'avoir courant semaine prochaine ...
je l'ai commandé chez mon libraire préféré...je devrais l'avoir courant semaine prochaine ...
Petit bassin de 3,5m³: 7 shubunkins, comètes et sarasas + 20 notropis.
Filtration : bac/lagunage externe de 200L
Mare naturelle de 6m³ : pas de poissons, que des libellules, dytiques, notonects,grenouilles, gyrin, gerris,etc.
Filtration : bac/lagunage externe de 200L
Mare naturelle de 6m³ : pas de poissons, que des libellules, dytiques, notonects,grenouilles, gyrin, gerris,etc.
- Harry
- Habitué(e)
- Messages : 103
- Enregistré le : mar. 03 juin 2014, 21:00
- Localisation : Namur, Belgique
Bonjour,
Et bien je ne suis pas tout à fait du même avis que vous....
J'apprécie les versions papiers, mais les versions numériques sont intéressantes à partir du moment ou le contenu est enrichi.
Je suis abonné à une revue numérique rien à voir avec la version papier plus de photos, des vidéos... etc.
Bonne journée
Thierry
Et bien je ne suis pas tout à fait du même avis que vous....
J'apprécie les versions papiers, mais les versions numériques sont intéressantes à partir du moment ou le contenu est enrichi.
Je suis abonné à une revue numérique rien à voir avec la version papier plus de photos, des vidéos... etc.
Bonne journée
Thierry